Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieure et de la Recherche. Créé en 1939 et dirigé par des scientifiques, il a pour mission de faire progresser la connaissance et être utile à la société dans le respect des règles d’éthique, de déontologie et d’intégrité scientifique.

Sujet de thèse :
La thèse se concentrera sur les applications de l'analyse (et de l'analyse microlocale) à des questions de géométrie et de systèmes dynamiques. Elle développera un cadre systématique pour l'étude de la vitesse de mélange de certains flux chaotiques.
Contexte :
Le doctorat se situe dans le domaine des mathématiques, de l'analyse des équations aux dérivées partielles, de la géométrie différentielle et des systèmes dynamiques. Les activités se dérouleront au laboratoire LAMA de l'UPEC. Recherche dans le domaine proposé et participation aux activités du LAMA, en particulier dans l'équipe Équations aux dérivées partielles, ainsi que dans l'équipe Géométrie et courbure. Réunions régulières avec les superviseurs. Participation à des conférences, écoles, séminaires, etc.

Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

Contraintes et risques :