Activité du service
La sous-direction des affaires européennes et internationales, au sein du secrétariat général, conduit et coordonne l'action internationale du ministère de la Culture, en liaison étroite avec les directions générales de ce ministère ainsi qu'avec le ministère en charge des affaires étrangères.
Le bureau des affaires internationales et multilatérales, au sein de la sous-direction, est composé d'un chef de bureau, d'un adjoint, et de sept chargés de mission.

Liaisons hiérarchiques
Le chargé de mission est placé sous l'autorité du chef du bureau des affaires internationales et multilatérales et de son adjoint, en lien avec le sous-directeur des affaires européennes et internationales et le chef du service des affaires juridiques et internationales.

Liaisons fonctionnelles
- Bureau des affaires européennes de la sous-direction,
- Sous-direction des affaires juridiques,
- Correspondants dans les services métier des directions générales du ministère et de ses établissements publics,
- Ministère chargé des affaires étrangères (Direction générale de la mondialisation et des partenariats, direction politique),
- Ambassades de France à l'étranger (Services de coopération, Instituts français) et ministères partenaires.

« Dans le cadre de sa stratégie de Responsabilité Sociale des Organisations (RSO), le ministère de la culture s'engage à promouvoir l'égalité professionnelle et la prévention des discriminations dans ses activités de recrutement. Une cellule d'écoute est mise à la disposition des candidats ou des agents qui estimeraient avoir fait l'objet d'une rupture d'égalité de traitement. »

Renseignements/Candidatures :
Matthieu BERTON, chef du bureau des affaires internationales et multilatérales - matthieu.berton@culture.gouv.fr
François PARAIN, adjoint au chef du bureau des affaires internationales et multilatérales - francois.parain@culture.gouv.fr
Copie impérative à : veronique.forget@culture.gouv.fr; recrutements.sg@culture.gouv.fr

Au sein du bureau des affaires internationales et multilatérales, le chargé de mission a trois missions principales :
1. Zone géographique
Le chargé de mission suit les relations bilatérales avec les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique de l'Est. A ce titre, il :
- Analyse des demandes de partenariats auprès du ministère et de ses opérateurs en matière de politiques et de projets culturels ;
- Suivi les accords intergouvernementaux, arrangements administratifs et déclarations engageant le ministère ou le Ministre ;
- Préparation des entretiens bilatéraux entre le Ministre et ses homologues et interlocuteurs étrangers, ainsi que les déplacements à l'étranger ;
- Instruction des demandes de subvention liées à sa zone géographique ;
- Suivi des grands événements culturels de la zone notamment ceux en liaison avec l'Institut français ;
- Appui, dans cette zone géographique, sur les enjeux liés à la mobilité et l'expertise culturelle, en lien avec les missions dédiées à la SDAEI.
2. Référent thématique pour le spectacle vivant
- Lien régulier avec les services métiers concernés à la DGCA;  
- Relation avec les opérateurs concernés et les réseaux ou fédérations professionnelles;
- Animation d'un réseau de correspondants internationaux sur ces sujets ;
- Suivi et présence dans les événements culturels dédiés ;
- Instruction des demandes de subventions liées à ces thématiques ;
- Veille thématique ;
3. Suivi de l'Organisation Internationale de la Francophonie
- Contribution du ministère de la Culture aux positions françaises tenues dans les instances de l'OIF
- Préparation de la participation française aux Jeux de la Francophonie d'Erevan 2027
- Instruction des subventions accordées par le ministère de la Culture à l'OIF

Des pics d’activité sont à prévoir (missions, accompagnement de délégations, participation à des négociations à Paris)

Profil du candidat recherché
Expérience d'au moins 2 ans dans le domaine de la diplomatie culturelle, en France et à l'étranger, si possible dans la zone géographique concernée;
Expérience de la gestion de projets en environnement multiculturel.
Compétences techniques
- Connaissance de l'administration publique française et de ses processus décisionnels (maîtrise) ;
- Connaissance de l'organisation diplomatique française (pratique) ;
- Connaissance du domaine du spectacle vivant - organisation du secteur et des acteurs (pratique) ;
- Connaissances du paysage culturel africain (maîtrise) ;
- Connaissance des enjeux et des mécanismes du système multilatéral (initié) ;
- Capacités d'analyse et de décryptage de l'actualité internationale des pays couverts (pratique) ;
- Anglais (écrit, lu, parlé) (maîtrise).

Savoir-faire
- Compétences rédactionnelle et de synthèse dans des délais souvent courts (maîtrise) ;
- Capacité de représentation (réunions interservices, événements culturels) (maîtrise) ;
- Capacité à travailler en équipe et à partager/diffuser l'information(maîtrise) ;
- Capacités d'organisation (gestion budgétaire, gestion d'événements) (pratique) ;

Savoir-être (compétences comportementales)
- Capacité d'adaptation et réactivité (maîtrise) ;
- Excellentes qualités relationnelles (maîtrise) ;
- Dispositions pour le travail avec des environnements culturels différents et intérêt pour les cultures étrangères (pratique) ;
- Goût du travail en équipe (maîtrise)
- Discrétion (maîtrise)

Perspectives d'évolution
Selon le corps d'appartenance (agents titulaires) ou l'expérience (agents non-titulaires)

Tous les postes du ministère de la Culture et de ses établissements sont ouverts aux personnes reconnues comme travailleur.euse handicapé.e.

Les candidatures seront examinées collégialement. Les personnes présélectionnées seront invitées à un ou plusieurs entretiens. Conformément aux  recommandations de la CNIL et aux dispositions du code du travail des mises en situation ou des tests d'évaluation contribueront à l'appréciation de la capacité à occuper l'emploi.

Dans le cadre de sa stratégie de Responsabilité Sociale des Organisations (RSO), le ministère de la Culture s'engage à promouvoir l'égalité professionnelle et la prévention des discriminations dans ses activités de recrutement. Une cellule d'écoute est mise à la disposition des candidats ou des agents qui estimeraient avoir fait l'objet d'une rupture d'égalité de traitement.